Je viens tout juste de m'inscrire sur ce forum.
Je m'appelle Florence et j'habite à LLN.
La raison pour laquelle je me suis inscrite ici est la suivante: je recherche des infos/avis sur la société Matexi, qui construit des maisons clé-sur-porte. Ils ont un projet notamment à Mont Saint Guibert qui nous intéresse mon mari et moi et nous rencontrons l'architecte le 7 aout.
Mais avant, j'essaie de recueillir des infos à leur sujet pour savoir comment ils travaillent, s'ils sont sérieux, ect...
Parce que le projet nous plait vraiment beaucoup
En attendant vos réponses, je vous remercie d'avance pour votre collaboration
Vincent Philippe et Aurore Poppe ont acheté une maison 3 chambres à la société de promotion immobilière Matexi, dont le siège du réseau Brabant wallon se trouve à Wavre. C’était en avril 2010. «Cette maison, c’était notre rêve. Nous venions de Bruxelles et avons directement été séduits par le charme du quartier et de la commune. De plus, le prix était correct.» Leur habitation est située dans le lotissement Pré du Chapitre, non loin de la gare et de la rue du Berger, à Lillois. «Mais, explique le couple, le rêve s’est rapidement transformé en périodes de stress et d’ennuis divers. Les désaccords sont apparus un mois après la signature de l’acte. D’abord, des soucis ont retardé les travaux : oubli de la hotte, du gaz dans la cuisine, du lave-mains dans les sanitaires, problème de devis avec l’électricien… Nous n’avions d’ailleurs toujours pas reçu les plans de la maison, demandés à l’époque. Ensuite, les problèmes avec le carrelage ont commencé. Celui qui recouvre toute la surface du rez-de-chaussée est défectueux et ne correspond pas au modèle de départ. Après deux réparations déjà effectuées par l’entreprise, plus d’un tiers, à ce jour, sonne creux et se décolle. Dans moins de cinq ans, on pourra tout refaire à nos frais! On a demandé que le travail soit refait. La société a refusé.»
L’affaire est, depuis 2012, entre les mains de la justice. Les propriétaires poursuivent : «Chez Matexi, on nous a demandé de signer une convention qui nous a interpellés : nous devions prendre plusieurs postes de réparation à nos frais comme le démontage de la cuisine et la peinture. Nous avons refusé car le document stipulait que le changement de carrelage serait effectué par la société, à condition que nous nous engagions à ne pas faire de mauvaise publicité de la société dans la presse ou autre. Cette méthode nous a semblé bizarre et nous avions déjà perdu confiance. Matexi n’a pas voulu signer une contre-convention que nous leur avons proposée et du coup les travaux sont à l’arrêt.»
Et le couple, petit à petit, découvre certains «oublis» : une partie de l’électricité non reliée à la terre, tuyaux d’eau non mis dans des gaines de dilatation… Une inondation, en août 2011, a occasionné des dégâts dans le hall d’entrée. De plus, la citerne d’eau de pluie est défectueuse et doit être remplacée. «Plusieurs éléments du cahier des charges n’ont pas été respectés. Alors que nous avons payé pour tout cela. Nous avons saisi le tribunal des référés. En vain car l’urgence n’a pas été retenue. Nous allons donc introduire une citation, qui risque de nous coûter cher et de durer longtemps. Bref, ce que nous demandons, c’est qu’achèvement des travaux et le remboursement de nos frais de justice. Et, nous sommes ouverts au dialogue.»
